Après s’être attaqué au marketing, à l’exploitation des stagiaires, à la cuistrerie des commerciaux et la cruauté de la direction, James aborde de nouveaux thèmes ou situations classiques de l’entreprise.
Il traite de la difficulté de poser sa démission quand de possibles meilleurs horizons appellent l’employé qui doit se faire violence pour passer outre les techniques de chantages affectifs. Certains strips sont des allusions directes à l’actualité comme celles évoquant le trader spéculo dépendant, le PDG horrifié par l’arrivée de la grippe annonciatrice de nombreuses absences pour maladie ou encore le patronat récemment converti à l’écologie.
On rit souvent et cela sent le vécut parfois. A se demander si James n’aurait pas une double vie en entreprise en plus de son métier de dessinateur.