La situation ne fait qu’empirer pour nos explorateurs de la planète Antarès. La plage qu’ils choisissent de longer pour éviter l’inquiétante forêt se révèle parsemée de chausse trappes mortels, et l’insecte qui désintègre ceux qu’il pique poursuit son oeuvre en s’attaquant à l’enfant de Kim. La mantisse est à l’origine de ceci et d’une mystérieuse maladie semblant affecter la forêt de la planète.
Ce tome placé en plein cœur de ce cycle des monde d’Aldébaran répète les thèmes habituels de Leo. Survie d’un groupe en milieu hostile, lutte contre les pouvoirs autoproclamés, dénonciation de l’appropriation du corps des femmes par les religions. Un peu moins d’imagination pour nous proposer une faune et une flore fantastique habituellement très dépaysante ainsi qu’un sentiment d’installation dans l’histoire annonciateur on l’espère d’une accélération des évènements dans les prochains tomes.